Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Ady's world
1 août 2013

Belle-Maman

RATING : NC-17

821_1000

Suzanne se réveilla en sursaut. Le jour filtrait largement à travers les volets. Son regard se posa immédiatement vers le réveil posé sur la table de chevet. Il était plus de onze heures ! Son fils allait arriver dans moins d’une heure, elle devait se dépêcher de se préparer. Elle secoua légèrement l’épaule du jeune homme qui partageait son lit.

— Jérôme, réveille-toi ! Il est plus de onze heures !

Il poussa un grognement et elle le secoua alors plus énergiquement mais cela ne le fit que se retourner dans le lit afin de s’installer plus confortablement. Elle décida de laisser tomber pour le moment et enfila une robe de chambre sur son corps dénudé. Elle descendit jusqu’à la cuisine afin de se préparer un café. Dans un élan de bonté, et en souvenir de la bonne nuit qu’elle venait de passer, elle en prépara un aussi pour son jeune amant. Elle remonta à l’étage, un plateau entre les mains.

Quand elle rentra dans la chambre, le jeune homme continuait de dormir comme un bébé. Elle poussa la lampe et le réveil qui encombraient la table de chevet pour y déposer le plateau. Elle le regarda dormir pendant plusieurs secondes. Il était tellement beau. Un sourire espiègle sur les lèvres, elle abaissa très doucement le drap qui le recouvrait. La vision de son corps à la fois doux et massif la fit frissonner. Il était couché sur le côté et elle ne voyait donc que son dos.

D’un geste délicat, elle le força à s’allonger sur le dos. Son sexe, même au repos, était une invitation trop tentante pour qu’elle reste inactive. Elle grimpa sur le lit et s’installa de part et d’autre des jambes du jeune homme. Elle sentait l’excitation remonter en elle. De sa main douce, elle caressa la hampe de son pénis, avant d’y approcher sa bouche. Elle entendit alors Jérôme pousser un petit gémissement et son sexe commença à se redresser…

*****

Gwen se coiffait devant le miroir de la salle de bains. Elle sentait son cœur qui s’affolait dans sa poitrine. Pourtant c’était un peu stupide, il n’y avait vraiment pas de quoi paniquer, elle allait simplement rencontrer pour la première fois la mère de son petit ami. Mais elle voulait tellement faire bonne impression. Et puis, depuis qu’elle était toute petite, elle ne pouvait s’empêcher de stresser pour un rien, c’était plus fort qu’elle. Elle repassait sans cesse la brosse dans ses cheveux, comme pour se calmer. Elle sursauta littéralement quand la porte s’ouvrit dans son dos, ce qui fit sourire Alexis. Il savait parfaitement qu’elle était très stressée !

— Panique pas ! Tu vas voir, elle est très gentille. Et puis t’es une fille géniale, elle ne peut que t’adorer.

Gwen ne put s’empêcher de sourire devant la réplique de son compagnon. Elle savait bien que c’était stupide de paniquer comme cela. S’approchant d’elle, il passa délicatement la main sur sa joue…

— Et puis tu es tellement belle.

— Oh, ça je ne suis pas sûre que ça lui fasse grand chose, à ta mère !

— Si, elle sera contente de voir que je suis avec une aussi jolie fille que toi. Et… et puis, à moi, tu me fais un effet incroyable.

Il prit délicatement la main de sa compagne et la posa sur la proéminence située sur son jean. Elle sentit parfaitement qu’il était en érection. Collé contre son dos, il commença glisser sa main sous la jupe noire de son amie. Face au miroir, elle pouvait voir ses joues s’empourprer pendant qu’Alexis enfouissait sa tête dans son cou. La main de son petit ami atteignit son intimité.

— On… on n’a pas le temps, tenta-t-elle de murmurer.

Mais déjà, sa petite culotte venait de tomber à terre.

*****

Jérôme n’avait pas eu le temps de partir, et ils avaient donc décidé qu’il attendrait que Suzanne soit partie au restaurant avec son fils et son amie pour qu’il quitte à son tour la maison.

À travers la fenêtre de la chambre du haut, il observait la rue et il vit une voiture s’arrêter devant la maison de son amante. La portière passager était visible de son côté et il se délecta de la superbe paire de jambes qui descendit de la voiture. Il sentait son érection poindre à nouveau quand il releva son regard vers le visage de la jeune fille. C’était Gwen ! Sa sœur ! Il eut un moment d’incompréhension avant de réaliser que le garçon avec lequel elle sortait était le fils de Suzanne ! Cela le fit sourire. Comme les choses étaient étranges parfois.

*****

Dans un grand sourire, Suzanne ouvrit la porte. Alexis l’avait prévenue que sa copine était assez timide et elle avait donc envie de la mettre immédiatement en confiance.

Avec son chemisier blanc et sa petite jupe noire, elle la trouva très jolie et ressentit au fond d’elle une petite pointe de fierté. Elle était contente que son fils se soit trouvé une aussi belle fille.

— Enchantée de vous connaître, Gwen !

— Moi aussi, répondit-elle en rougissant légèrement ce qui la rendait encore plus charmante.

Elle les fit entrer, le temps qu’elle finisse de se préparer.

— Vous savez bien, nous les femmes, nous ne sommes jamais prêtes à temps !

— Oui, j’ai dû attendre Gwen déjà, c’est pour ça qu’on est un peu en retard ! répondit Alexis en souriant.

Son amie lui donna un léger coup de coude tout en rougissant encore plus. Ils étaient véritablement charmants tous les deux. Elle remonta à l’étage pour mettre ses boucles d’oreille. Jérôme entra à son tour dans la salle de bains.

— Non, on n’a pas le temps, là ! le gronda-t-elle gentiment.

— Non, c’est pas ça… Tu sais quoi ? La nana de ton fils… c’est ma sœur !

Suzanne resta un instant bouche bée. Quelle situation bizarre ! Et puis elle se souvint des confessions qu’elle et Jérôme avaient échangées…

— Oh… Celle… celle qui…

— Je n’ai qu’une sœur, la coupa-t-il.

Suzanne se sentit rougir… Elle redescendit à l’étage inférieur avec de drôles d’images dans la tête…

*****

Dégustant sa salade de fruits, Gwen était rassurée. Le déjeuner s’était très bien déroulé et le courant était plutôt bien passé avec la mère de son petit ami. Mieux que tout ce qu’elle aurait pu imaginer. Elle était très gentille et parlait simplement, sans donner l’apparence de la jauger.

Le téléphone d’Alexis se mit alors à sonner. Il regarda de qui provenait l’appel et s’excusa en s’éloignant pour répondre. Gwen sentit son cœur s’accélérer, elle se retrouvait seule avec Suzanne ! Autant avec Alexis, ça c’était bien passé, autant cela allait peut-être être plus dur en se retrouvant seule avec elle ! Un petit silence s’installa. Gwen se sentait terriblement gênée.

— Je suis vraiment très heureuse d’avoir fait ta connaissance, commença Suzanne.

— Moi aussi. Je suis contente.

— Oh… et puis tu es vraiment très jolie.

Gwen se sentit rougir… Elle baissa les yeux.

— Merci.

Elle sentit le regard de Suzanne qui la fixait. La situation devenait… bizarre. Elle sursauta littéralement quand elle sentit quelque chose contre sa jambe nue. Relevant le regard, elle vit parfaitement le sourire que lui adressa Suzanne. Elle n’eut alors aucun doute sur la "chose" qui lui caressait la jambe. C’était le pied de la mère de son petit ami. Son cœur battait désormais à tout rompre dans sa poitrine. Elle tenta de dégager sa jambe de son étreinte mais le pied accompagna son mouvement.

Gwen n’osait pas regarder autour d’elle, dans la peur de se rendre compte que tous les gens présents dans la salle de restaurant avaient les yeux tournés vers elles. Elle espérait une seule chose, qu’Alexis revienne rapidement !

— Tu sais… Je connais Jérôme.

Gwen fronça les sourcils en entendant le prénom de son frère, mais elle était trop perturbée pour y réfléchir plus profondément. Elle ne répondit rien et Suzanne continua.

— Il… il m’a parlé de toi… de toi et… de ton amie Lucie.

Qu’est-ce que cela voulait dire ? Pourquoi lui aurait-il parlé d’elle ? D’elle et de Lucie ? Elle sentit ses mains trembler… De toute façon, son frère ne savait rien sur elle et Lucie. Enfin… pas à sa connaissance.

— Apparemment, vous vous amusiez bien toutes les deux, non ?

Gwen était incapable de parler. Elle vivait un cauchemar, il ne pouvait pas y avoir d’autres explications à ce qu’elle vivait à l’instant présent ! Le pied de Suzanne continuait de monter sur sa jambe et venait maintenant d’atteindre ses cuisses. Gwen frissonnait de partout.

— Qu’est-ce qui se passe, t’es toute blanche ?

C’était la voix d’Alexis. Le pied de Suzanne s’écarta vivement de ses cuisses et Gwen en ressentit à la fois un énorme soulagement et une pointe de dépit qu’elle chassa rapidement de ses pensées.

— Non… non… ça va.

— Gwen me parlait simplement de vieux souvenirs… avec sa copine Lucie !

— Oh, et c’étaient des histoires à faire peur, c’est ça ? demanda Alexis en plaisantant.

*****

Suzanne n’avait pas pu s’en empêcher. Elle aimait tellement les jeunes gens, et cette fille était si jolie, et tellement attendrissante avec sa timidité. Oh bien sûr, elle était la petite amie de son fils, elle n’aurait pas dû. Mais elle n’avait pas pu résister quand elles s’étaient retrouvées seules toutes les deux. Surtout que, depuis le début du repas, elle n’arrêtait pas d’avoir en tête ce que Jérôme lui avait raconté à propos de sa sœur.

Pour s’exciter, ils s’étaient échangés à plusieurs reprises des souvenirs érotiques, et le jeune homme lui avait parlé de sa sœur. Au souvenir de la confession de son amant, Suzanne sentit l’excitation monter en elle. Elle s’allongea sur son lit. Nue… Elle ferma les yeux et s’imagina la scène que Jérôme lui avait décrite.

Il s’était caché sous le lit de sa sœur. Plusieurs fois il avait entendu de légers gémissements alors que celle-ci était enfermée dans sa chambre avec son amie Lucie. Il s’était décidé à en savoir plus. Les jeunes filles étaient rentrées en gloussant dans la chambre. Il ne pouvait voir que le bas de leurs jambes. Elles revenaient du tennis et étaient pieds nus. Elles avaient dû retirer leurs chaussettes et leurs chaussures en rentrant dans la maison.

Sa sœur était assise au bord du lit. Il la reconnaissait à la couleur de sa peau, beaucoup plus pâle que celle de son amie. Lucie s’agenouilla entre ses jambes et il entendit clairement le baiser qu’échangeaient les jeunes filles. Couché sur le ventre, il sentit son érection pointée contre le sol.

Bientôt, il vit apparaître dans son champ de vision la petite culotte de sa sœur qui venait d’être abaissée à ses pieds ! D’un mouvement de jambes, elle l’envoya valser plus loin dans la pièce. Mais le pied de sa sœur ne reprit pas sa place initiale et vint se placer dans le creux des jambes de son amie. Il entendit clairement les deux jeunes filles pousser de petits soupirs. Et il voyait le pied de sa sœur s’activer légèrement entre les jambes de Lucie.

Suzanne arracha les draps situés sous elle et, en prenant un bout dans chaque main, les plaça entre ses jambes. Elle commença à frotter légèrement. Le mouvement du tissu contre son intimité lui procurait d’agréables frissons. L’image de Gwen envahissait maintenant son esprit. Parfois, elle avait l’impression d’être complètement folle. Tant pis, c’était si bon…

*****

— Alors tu vois, ça c’est bien passé ? demanda Alexis une fois de retour dans leur appartement.

— Oui, répondit Gwen, l’esprit ailleurs…

Elle avait véritablement séduit sa future belle-mère.

FIN

Publicité
Publicité
Commentaires
Ady's world
Publicité
Archives
Publicité